La Radio Télévision Suisse révèle que des chercheurs de l’université de Genève ont fait une découverte révolutionnaire.
L’on savait que les abus et maltraitances impriment des séquelles psychiques sur ceux qui en sont victimes. Mais l’on s’est aperçu qu’ils laissaient également une trace biologique dans leur ADN, trace que les généticiens sont parvenus à mesurer.
Dans le cadre de ce programme, certains consultants en psychiatrie, ont accepté des prélèvements sanguins pour analyse.
On a alors isolé un gène particulier, gène qui répond à un stress très fort résultant d’un traumatisme.
En croisant ces relevés biologiques avec les historiques de vie livrés par les consultants, au travers d’un questionnaire, les modifications chimiques de leur ADN s’avèrent être proportionnelles au traumatisme subi.
Plus incroyable, ce traumatisme, inscrit dans le génome, se transmet, malgré la division cellulaire, dans le patrimoine familial jusqu’au moins 3 générations.
De quoi alimenter les travaux relatifs à la psychogénéalogie, au transgénérationnel et à l’énergétique.
Retrouvez le reportage de la R.T.S., « Des chercheurs de l’Unige ont découvert que les abus laissent une trace biologique dans l’ADN des victimes ».